Péril sur l’avion présidentiel | Film badass

Notre critique de Péril sur l’avion présidentiel est favorable car son réalisateur James Bamford offre contre toute attente un bon film d’action avec un scénario qui sait surprendre et des gunfights blitz badass aux pistolets ou aux mitraillettes tout comme des brefs combats à mains nues impressionnants tandis qu’un second arc narratif révèle la séduction réciproque qui s’établit peu à peu entre la jeune Allison Miles et le Président des États-Unis. D’ailleurs, afin de séduire le Président, Allison Miles n’hésite pas à se servir de tous ses atouts féminins en se dénudant pour soigner ses blessures devant le Président ou en laissant un décolleté plongeant sur sa poitrine ! Simultanément, Allison Miles n’a rien d’une bimbo en quête du mâle alpha puisqu’elle décoche un grand coup de pied dans les testicules d’un rebelle en affirmant ainsi sa supériorité féminine ! Mais Allison Miles est capturée par la faction rebelle qui l’enchaîne debout suspendue par les mains tandis que le Général Rodinov annonce au Président des États-Unis que tous ses soldats rebelles vont pouvoir ainsi abuser de sa captive les uns après les autres avant d’abuser d’elle à nouveau le lendemain les uns après les autres et ainsi de suite à chaque nouvelle journée ! Parallèlement à la séquestration de Allison Miles enchaînée à la merci d’un soldat brutal qui veut être le premier à abuser de la jeune prisonnière, le film Péril sur l’avion présidentiel déroule également son récit à Washington où la loyauté de la Vice-Présidente va être mise à l’épreuve car elle est hostile à l’accord pétrolier entre les USA et l’Astovie ! Alors, même si le budget limité se fait parfois un peu sentir, même si la mise en scène est parfois un peu plate, le film Péril sur l’avion présidentiel réussit le tour de force de créer de la tension et des émotions en étant bien soutenu par la musique martiale de Rich Walters qui avait déjà composé la très bonne bande originale du mésestimé mais excellent film À l’image de la femme de James Bird.